Un voyage … à l’intérieur



Je ne me souvenais pas des images de  mes promenades

Ainsi sur des bords de plage et pourtant je sais que j’y ai marché

Trop en recherche dans mon intérieur si chaotique  pour regarder vraiment ou mes pieds traçaient des pas

Je pourrais dire je gravissais une montagne intérieurement 

Pourtant dans certaines de mes lectures remonte une odeur a mes narines

Et je sais bien que cette odeur c’est la mer , tu vois que je n’ai pas toujours été là ou mon corps se déposait

J’entends parfois quelqu’un dire je vais aller voir au bout du monde si j’y suis  et bien pour moi je suis rester a tourner en rond dans un cercle très restreint ,

Mais je voyageais dans mon monde intérieurement à vitesse grand vent. J’étais a vivre mes tornades et mes ouragans .

Puis souvent a ramasser les débris des tsunamis… est-ce ceux des rébellions ?

Mais en ce temps-là j’étais trop perdue dans mes pensées

Oui j’ai parcouru des distances sans distance pour me trouver.

Je suis monté dans les hauteurs sans mettre de parachute

Je suis descendu dans les profondeurs …pour essayer de trouver ma vie….

Parfois il y faisait nuit et noir mais un petit fil y était ….. je tenais la main amie …..

Mais je cherchais a être une autre …sans vraiment le savoir …  alors certainement que je ne me trouvais jamais

Puis un de ces matins assise en boule replié tel un escargot, ou une petite tortue dans sa carapace j’ai  accepter d’être juste moi
Je regarde des images qui me font faire des aller retour…  des écrits …le font aussi …

Les deux pieds bien rivés …. au sol …. je ne suis que ce que le MAÎTRE  a voulu pour  moi ….

Jeanne D’arc

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Je pensais à toi …

   

Petit homme !

Est –ce que je verrais un jour un peu de bonheur dans tes yeux.

Je sais que cela ne doit pas être facile.

De vouloir être un homme.

Et de trainer.

Dans son cœur toutes les blessures de l’enfant.

Mais si un jour tu peux comprendre.

Que tu n’es pas seul.

Chacun de nous avons à vivre avec

Toutes nos blessures aussi.

Parfois même si nous sommes grand.

On se sent tout petit en dedans.

 

Blessures de rejet, blessure de trahison, blessure d’abandon, blessures de ne pas être reconnu etc…

C’est souvent avec toutes ces blessures que l’on s’est formé une personnalité

Souvent rempli de mécanismes de défense

Nous sommes plus souvent en réaction

Que vraiment en action.

Mais à force de ne regarder que celles –ci.

On est aveugle !

A tous les gestes d’amour.

Toutes les marques de tendresse.

Toutes les petites choses que les autres font pour nous.

A`force de vouloir être aimé par une personne en particulier.

Nous ne voyons pas toutes celles qui nous aiment

Juste à côté.

Il y a des personnes qui ne peuvent pas aimer.

Elles en sont incapables.

Car elles ne sont pas capables de s’aimer elles –mêmes.

Et aussi parce qu’elles n’ont jamais appris à aimer.

 

Puis un jour.

On cherche notre identité.

Voilà l’adolescence ?

On pense que les grands sont dépassés.

Qu’ils ne connaissent rien.

Mais on finit par vieillir.

Et parfois on voudrait s’appuyer sur la sagesse des adultes du passé.

Mais on se réveille parfois trop tard.

Et ils ne sont plus là.

 

Pas facile de dépasser ces blessures

De changer tous nos comportements.

Mais les autres sont blessés aussi.

Et ont ne sait jamais dans laquelle nous irons toucher.

Alors je crois que nous devons un jour choisir.

Nous arrivons un matin à une croisée de chemin.

D’un coté il y a le passé et de l’autre il y l’avenir.

Il nous faut accepter aujourd’hui qu’hier on ne peut le changer

Malgré toute notre volonté.

Il nous faut aujourd’hui choisir .d’être heureux.

Il nous faut tous un jour dépassé ces blessures les abandonnés au passé.

Quitter le terrain de guerre.

Pour vivre aujourd’hui.

Et regarder en avant.

Sûrement que tu y arrive avec des cicatrices. 

Chacun y porte les siennes.

Je te souhaite de regarder vers le soleil levant ainsi l’ombre sera derrière toi.

Je t’aime mon petit homme.

Mon petit roi. 

Je voudrais tellement voir un peu de bonheur dans le fond de tes yeux !

D’une femme qui t’aime énormément.

(tu te souviens de notre chanson : dis boule de gomme serais-tu devenu un homme ) 

Jeanne D’arc

coeur 2

A la porte de son âme

Juste ici un  œil se fait curieux.

Tout a  coup L’ intérieur devient un grand point d’interrogation.  alcove

Dans  cette solitude matinale.

Au  lever du jour.

Dans cette ouverture un peu en retrait, dans  cette petite alcôve , jour après jour, au petit matin elle vient s’assoir

Pour tenter de toucher sa lumière.

Même si c’est un simple effleurement.

De s’en approcher

Pas la lumière qui éclaire les choses de l’extérieur , mais celle qui perce tout de bord en bord , celle a travers laquelle tout devient transparent.

Cette lumière que nous voyons mieux souvent les yeux fermés.

Et  parfois il lui  semble pour un instant la  percevoir

Pour lui confier  tous ses questionnements.

Elle regarde la vie qui passe à l’extérieur, mais aussi les gens, les saisons.

Tout ce qui lui passe devant les yeux lui offre des pistes de réflexions.

Mais aussi des signes de solutions.

De ce qui se  vit  plus difficilement

Dans son monde intérieur.

Des mots sonnent des réponses à tous ses point d’interrogations.

Alors certains se changent en point d’exclamation.

Des émotions se vivent dans cet espace.

Des couleurs, des sensations.

Viennent lui dévoiler et raconter la vie.

la sienne , mais aussi toute vie qui l’entoure.

Cet endroit devient son point d’observation favori.

Son petit coin de retraite à chaque jour.

Elle peut aussi lui parler de comment elle se vit intérieurement.

Mais ce matin.

Quelque chose du dehors la touche et provoque.

Encore en elle une perte d’équilibre…

Elle redoute cette zone fragile  , cette  sensibilité dans son être.

Est sa plus grande fragilité

Et tout ce qui peut ainsi l’éveiller.

Celle  qui  revient sans cesse à intervalles réguliers, mais toujours sans s’annoncer.

Elle ne peut jamais savoir qui ou quoi en sera le déclencheur.

Qui ou quoi éveillera un fantôme ou une mémoire encore blessée.

Tant de mémoires encore à guérir.

Tant encore à réconcilier en dedans.

Mais le premier pas a été franchi , celui de dire oui de tout cœur a cette réconciliation.

Peu importe le temps qu’il lui faudra…..

Pour rejoindre toutes les parties  de soi,

Mais se présente aussi  des mémoires fantastiques pleines de joies et de rires.

Qui lui arrive et l’ébranle aussi.

La joie et le bonheur peuvent aussi être déstabilisant  parfois.

Soudain, tout son intérieur devient d’une fragilité qui la laisse complètement désarmée.

Parfois ainsi en  elle vient s’installer le doute qui en quelques secondes recouvre tout.

Ce doute envahit la totalité de son univers il prend toute la place en elle.

La peur s’installe elle ne sait pas combien de temps il lui faudra

Pour sortir de cette impasse.

Elle sait qu’il lui faudra tout revisiter.

Vraiment faire le point sur ce qui a encore grand prix au profond de son cœur.

Elle connait exactement l’endroit de la première perte de son équilibre.

Mais par cette ouverture  là pourtant elle a encore une peur d’y regarder.

Dans cette déchirure,

Car elle a peur d’y replonger encore dans un vide si profond …

Un vide ou elle a vraiment cru se perdre.

Un puits qu’elle a cru sans fond.

Mais quelqu’un avait déjà visité cette nuit des profondeurs.

Alors une main lui fût tendue.

Cette main fût son sauveur.

Jeanne D’arc

aimer la vie

création

Aimer la vie.

Aimer sa vie.

Aimer comme le soleil qui réchauffe la terre.

Aimer comme les étoiles et la lune qui éclairent la terre

Il se contente de briller.

Elles se contentent juste de scintiller.

Ils acceptent d’être ce qu’ils sont.

Et d’être ou ils sont.

De briller et de scintiller sur tout et sur tous.

Ils acceptent complètement leur fonction.

Aimer ce n’est pas quelque chose que l’on choisit.

C’est un sentiment que l’on vit.

Aimer c’est un ressenti qu’on laisse grandir en soi.

Aimer sans ne jamais attendre rien.

Juste de laisser l’amour en soi.

S’étendre et puis s’étendre encore.

Sur tous et chacun.

Jusqu’à englobé  complètement tout.

Peu importe ce que tu fais.

Peu importe tes choix.

Là tout au fond de moi.

Tu fais parti de moi.

Il existe juste une création.

Et elle contient tout, oui ! Vraiment tout.

De l’infiniment petit jusqu’à l’infiniment grand.

Du plus petit caillou jusqu’au soleil immense.

L’air que tu respire.

La terre qui te porte.

Tous ces fruits dont tu te nourris.

L’eau dont tu t’abreuve.

Et celle qui te désaltère.

La brise qui te rafraîchit, mais aussi les grands vents qui te bousculent.

Les rires et les sourires qui t’enchantent.

Les pleurs et les cris de détresse.

Qui te permettent de les consoler.

Les mains tendues vers toi.

Qui t’offre ainsi la possibilité de donner.

Aimer, aimer vraiment toute la création.

C’est laisser vivre l’Être en soi.

Non! Je ne sais pas toujours aimer ainsi.

Souvent je suis comme un petit bateau qui flotte à la dérive.

Mais tant que je garderai ma boussole tourner vers cet idéal.

Je suis convaincu de retrouver encore et encore le chemin de la maison.

AMOUR !

Jeanne D’arc

Réflexion sur les mots …

Un coin de ciel

Réflexion sur les mots.

Je ne peux écrire qu’avec ce que je suis.

Qu’avec mes ressentis.

Qu’avec ce que je vis

Je suis aujourd’hui je le sais la somme de chacun des évènements de ma vie.

Comment puis-je t’écrire l’amour autrement que je le ressens.

Autrement que je l’ai vécu.

Au travers les expériences de ma vie

Avant toi j’aurais écrit l’amour tout autrement pourtant.

Et cela aurait quand même été l’amour.

Mais un amour auquel il manquait encore quelque chose.

Donc ton passage dans ma vie,

Est venu enrichir mon vécu,

Est venu enrichir le mot Amour pour moi.

Avant toi.

Avant ta présence ou ton passage dans ma vie.

Je ne pouvais mettre dans les mots écrits la profondeur ou l’intensité

Que tu es venu glisser dans ce mot pour moi.

Chaque personne et chaque chose pour laquelle j’ai ressenti ce sentiment.

Est venu faire grandir ce mot en moi.

Les mots ont tous les mêmes lettres, mais ils sont différents pour chaque personne.

Surtout les sentiments ils sont le contenu que la personne qui les vit leur donne

Les mots ils sont vides en eux-mêmes.

Chacun de nous rempli les mots de son vécu.

Comment puis-je t’écrire la peur différemment que je la ressens.

Pourtant avant un certain événement j’aurais écrit le mot peur.

Avec un contenu si différent.

Mon mot ne sera différent que pour moi car tu le liras avec ton propre vécu.

Quand je parle de la joie je ne peux que parler de la mienne.

Je ne connais pas la tienne.

Je n’ai aucune idée de sa grandeur et de sa profondeur.

De ce qui éclate en toi quand monte cette joie.

Quand je parle de bonheur je ne peux parler que du mien.

Car je ne sais pas toi ce qui fait ton bonheur.

Car le bonheur n’est dans rien en particulier pour moi.

Mon bonheur est dans la façon d’accueillir chaque chose.

Donc mon bonheur est dans mon état d’être.

Ce que je trouve dans mes lectures c’est aussi avec mon vécu.

Que je le découvre.

Pourtant quand je lis tes mots je sens ces mots vibrés en moi.

Pourtant quand je lis tes mots des frissons viennent sur ma peau.

Des larmes montent dans mes yeux.

La façon pour moi de connaître ton intensité. Ta sensibilité.

C’est de la sentir à travers tes mots.

Venir toucher a ma propre sensibilité.

Ta façon de les marier elle n’appartient qu’à toi.

C’est ton style celui qui t’appartient.

Donc j’écris les mots avec le contenu de mon vécu, et je lis avec le même contenu.

Jeanne

Merci…….

 

 

création avec plénitude

Depuis quelques semaines cette créativité me passionne vraiment , je me souviens de mes débuts dans cet univers et ou je me situais ,dans tous les domaines de ma vie, beaucoup de chemin était fait dans la guérison de mon être intérieur, mais il y en avait encore beaucoup a parcourir, pas en distance car ce chemin vers la maison est un voyage sans distance, mais en profondeur.

Des liens se sont créés ,Et j’ai pris conscience de certains blocages , ce que je constate surtout c’est tous ceux que j’ai rencontrés ici et combien en vous côtoyant dans cet univers virtuel combien j’ai avancée et j’ai grandie ,chacun a partager soit par ses s écrits qui touche mon être.
leurs découvertes, les partages de certaines lectures , leurs outils partagés , ont  permis A d’autres de renouer a leur propre créativité endormie .

la mienne j’avais mis tant de freins entre moi et elle.

Certains de mes blocages j’en ai pris conscience avec vous.

Et pas seulement dans ce domaine.

Nous sommes  inspirés parfois par les autres ils deviennent notre source d’inspiration.
Beaucoup de vous furent cela pour moi.
Je crois vraiment que nous baignons tous dans la même source.

Elle est si immense et chacun possède en lui des immenses possibilités.
Et  chacun y puise à sa façon unique.

Juste d’être ce que nous sommes.

Suffit, il n’y a aucune obligation.

Seulement être ouvert a toutes tes possibilités.

Créer un espace en soi.

Ouvert.

Entendre ce qui fait écho en toi.

Mais si le désir est en toi de partager tes écrits et tes créations ou les outils qui t’ont aidés, si tu en sens vraiment l’appel.

Ne refuse pas malgré les obstacles sur la route de ton rêve.

Car s’il t’en a donné si fort le désir, il te donnera les moyens pour y arriver.

Le processus parfois peut-être plus ou moins long.

Il y a des hauts et des bas.

Comme dans toutes naissances.

Et un projet , un rêve ,une œuvre est une naissance en soi.

Il peut être en veilleuse, mais sois certaine il renaîtra.

Si c’est le chemin qu’il avait en vu pour toi lors de ta propre création.

D’être ce que le grand créateur t’a donné d’être.

Merci a vous tous.

Certains personnes très proches de moi dans ma vie m’ont vu naître de la survie a la vie.

Voici que je sens que je vis encore une nouvelle naissance.

En moi.

Celle d’être encore plus vivante, malgré la maladie présente.

Merci a chacun et chacune d’entre vous qui faites parti de cette nouvelle Jeanne D’arc.

En qui je découvre plein de rêves et a qui je permet d’être.

Ce qu’elle est .

Mon physique vas avoir 61 printemps dans quelques jours.

Mais mon cœur sens encore la joie d’un enfant.

Devant le sapin de Noël.

Merci.

Jeanne.

Un mot de mon amoureux dans mon livre image de 60ans : avoir 60 ans donne bien quelques frissons, mais l’important c’est le cœur et le tien il est jeune sois en certaine.xxx

Je t’ai nommé liberté .

perroquet avec mes prismacolor

Un symbole de liberté.

J’ai voulu dessiner une image de liberté.

J’ai sorti mes crayons.

Et j’ai dessiné tes ailes.

J’ai voulu un espace de liberté.

J’ai pris mes crayons et j’ai mis plein de couleurs.

En signe d’ouverture a tous les paysages.

Et j’ai refusé de te garder en cage.

Même la plus belle cage dorée.

Ne sera jamais la maison d’un être de liberté.

J’ai dessiné de grands arbres.

Pour que tu puisse t’y poser.

Et y faire ton nid.

J’ai voulu un chemin de liberté.

Je t’ai offert de hautes montagnes.

Et un ciel.

Pour t’envoler.

J’ai voulu dessiné un symbole de liberté.

J’ai dessiné tes ailes .

Qui te conduisent vers tes plus grands rêves.

Qui te permettent de t’envoler.

Dans les hauteurs

Au-dessus de toutes les circonstances.

Pour les regarder.

Avec un certain détachement.

J’ai voulu un espace de liberté.

Je t’ai permis de choisir l’endroit ou construire ton nid.

J’ai voulu un chemin de liberté.

Je t’ai permis.

De t’envoler vers d’autres cieux.

Car je sais que l’on n’emprisonne pas  un être de liberté.

Je crois que chaque être doit trouver son propre chemin de liberté.

La porte du mien était grande ouverte.

Mais la peur de cet inconnu.

M’as souvent enchainé au connu.

Sans que je le saches vraiment.

La porte était ouverte.

Mais j’avais les yeux fixés.

Sur les barreaux de la cage.

Que j’avais moi-même fabriqué.

Un jour j’ai osé  en sortir.

Et déployer mes ailes.

M’envoler vers tous ces magnifiques paysages.

Il y aura toujours du nouveau.

Dans cet espace , sur ce chemin.

Il est infini.

Ne t’en fais pas cet espace et ce chemin est a l’intérieur de toi.
Tout est en soi et tout part de soi.

Aujourd’hui je chante avec toi liberté.

.Jeanne

La gratitude

bonne journée 

Voici une page de mon journal de gratitude .

Chaque matin quand je me lève ma première pensée est de dire merci .

Merci pour cette journée qui m’est prêtée .

Merci pour tout ce qui meubleras cette journée .

Merci pour mes trois belles grandes filles

Et mes six merveilleux petits enfants

Merci pour leur bonne santé!

Merci pour leur amour

Merci pour leur joie de vivre .

Merci pour leur aide

Merci pour mon amoureux !

Merci pour la nourriture pour aujourd’hui !

Merci pour tous mes amis et amies !

Merci pour la soleil !

Merci pour la nature !

Merci pour tous les sourires !

Merci pour tous les bonjours !

Merci pour tous les compliments .

Et merci aussi pour les côtés un peu moins beaux , les embûches, les difficultés

Et j’essayerai d’avoir le courage pour leur faire face .

J’éprouverai de la joie lorsque j’arriverai à les surmonter .

Sinon donne moi la sérénité d’accepter ce que je ne peux changer

Merci !

Quand il y a quelques années j’ai commencé à écrire dans ce journal de gratitude je regardais beaucoup plus ce qui me manquait dans la vie , puis mon amie Loulou m’as offert un livre l’abondance dans la simplicité .

Ce livre nous parle de six principe spirituels

Une page pour chaque journée .

Et deux mois pour chaque principe .

Ces six principes sont d’abord la gratitude , et vu que je voulais ce que cette femme avait hé! bien (le journal de gratitude n’était pas facultatif)

Donc je l’ai adopté

Et cette gratitude nous conduit vers la simplicité .

La simplicité nous amène à l’ordre , puis l’ordre nous transporte vers l’harmonie .

L’harmonie nous permet de reconnaître la beauté et la beauté nous fait cadeau de la joie !

Aujourd’hui je dis merci Loulou pour ce cadeau !

Et merci à celle qui l’as écrit .

Merci pour tous ces soleils dans ma vie !

Et merci surtout mon Dieu .

Pour cette journée d’aujourd’hui .

En toute simplicité .

Jeanne d’arc .

L’automne de la vie.

Photo 008

 

Et toutes ces couleurs.

Je sais que chaque arbre est unique.

Ils sont partis de la semence de même nature.

Chaque feuille a sa nuance.

Elles sont relies a la branche.

La branche se relie au tronc.

Il leur donne la sève.

Qu’il puise dans ses racines.

Ses racines puise de la terre mère.

La terre se nourrit.

Du retour de la feuille.

En elle quand son voyage est terminé.

Elle nourrit cette terre.

Et redevient féconde.

Pour les nouveaux bourgeons.

Mais la terre et l’arbre ont aussi besoin.

De la lumière et de l’eau pour vivre

Et remplir leurs fonction.

Et du vent pour transporter leur semence.

Donc il n’y a rien , ni personne qui peut dire.

Qu’une chose est inutile.

Tout se transforme dans cet univers.

Quelle leçon je peux apprendre juste a observer la nature.

Je suis maintenant a l’automne de ma vie.

Et toutes ces couleurs ma vie les a peintes en moi.

J’ai déjà vécus bien des automnes.

Celle de l’enfance.

Puis j’ai vécue.

Celle de l’adolescence.

Et celle de la femme mûre.

Chaque âge a quatre saisons.

Je sors maintenant d’ un autre automne.

Mais c’est le printemps.

D’un nouvel âge.

Un jour je sais je déposerai.

Mon vêtement.

Déjà il n’est plus le même.

Il s’est transformé.

Au fil des toutes ces saisons.

Oui un jour je quitterai.

Mon outil d’apprentissage.

Je n’en suis plus amère.

Mais je sais que mon être.

L’essence que je suis dans mon âme.

Vivras.

Mais aussi morte que paraîtra ma maison extérieure.

Ma maison intérieure.

Celle qui est ma vrai maison.

Celle qu’habite mon âme.

Vit pour toujours .

Ainsi est ma foi.

Jeanne 

 

 

Une rose.

Dessin 2004

Je découvre cette rose.

Elle devient symbolique.

Mon âme repose.

Comme dans un réceptacle.

De

Tes bras  qui entoure .

Le cœur de mon être.

Ils sont plein de douceur.

J’en hume l’essence.

Le parfum de l’amour.

Une seule goutte de ce parfum dont tu m’as imprégné a ma naissance

me ramèneras.

Toujours a la maison.

Je ne la quitte pas.

Mais parfois je l’oubli.

 

 

Tu me laisse découvrir.

Parfois je descend en moi.

Et je sens les épines.

Que je dois dépassé.

Mais la tige est le lien.

Qui nous relit.

Elle me parle de la maison.

Je remonte un instant.

Chercher.

Le réconfort le moment de répit.

Je finirais par toutes les dépassées.

Ces défenses.

Que j’ai construites.

Autour du cœur de mon être.

Je prendrais entièrement et pleinement conscience.

Que ce cœur doit être complètement ouvert.

Rien ne peut me blesser.

Sans que je lui donne cet accord.

Mais tout peut m’enseigner.

A m’abandonner.

 

Abandonner toutes les pétales en moi.

Qui sont éphémères.

Et retrouver la petite semence.

Celle de la vie.

Celle de mon âme.

Cette semence  est en moi.

Et je repose en toi.

Jeanne