Un coussinet tout rose
Une griffure sur ma cuisse
La Zénitude de Mitsou
Mes yeux !
Mes yeux ils contiennent la couleur de tous mes rejets, de tous mes abandons, et de tout les abus ,et aussi de chacun de mes deuils.
De toutes mes trahisons et de toutes mes déceptions.
Mais ils contiennent aussi la couleur de toutes mes joies de tous mes accueils de tous mes pardons et toutes mes absolutions la couleur de toutes mes acceptations.
De toutes mes libérations .
J’oserais même dire de toutes mes résurrections.
Ils contiennent aussi la couleur de tous mes amours et tous mes rêves.
De toutes mes peines, mes pertes et de toutes mes passions
Mes yeux ont versés des larmes,
Oui larmes de peine et larmes de joie
Larmes sucrées et larmes salées.
Larmes douces et larmes amères
Larmes de désespoir
Et larmes de libération
Larmes de colère et larmes supplication.
Longtemps ces larmes je les ai versées en dedans.
Elles restaient dans mon cœur.
C’est là qu’elles ont faillis m’étouffer.
Mes yeux ont parfois regardés sans voir
Car ils étaient aveuglés.
Et aussi parce qu’ils avaient peur de regarder.
D’autres fois ils ont vus sans regarder
Ils ont été éblouis.
Et ils ont vus des choses qu’ils auraient aimées ne pas voir
Mais ils ont aussi vus des choses
D’une beauté indescriptible. .
C’est pour tout ça que je désire vivre les yeux grands ouverts
Aujourd’hui et maintenant.
Dans la maison du présent.
Et quand viendra l’heure où je fermerai mes yeux !
Derrière ces fenêtres closes
Je voudrais emporter les beaux souvenirs
Que mes yeux ont savourés !
Et les autres souvenirs qu’ils soient purifiés et lavés
Par les larmes qu’ils ont provoquées.
Qui sont souvent ainsi quand elles sont baignées dans les eaux d’un pardon.
Et qu’elle se rend jusqu’à dans mes yeux
Je me dis voici un cadeau de Dieu !
Car toutes les expériences.
Ce sont des perles que la vie m’a donné.
Elles auraient pu éteindre mes yeux, les noyés mais je pense qu’elles les ont bénis,
Toutes ces expériences font de moi ce que je suis.
Parce que je veux voir la lumière et les étoiles.
Briller dans tous les yeux qui croisent mon regard.
Je choisis d’essayer de regarder .avec les yeux de l’amour.
Alors je choisis d’aimer.
Oui après toutes ces années c’est le seul verbe
Que je désire désormais conjuguer.
Que l’amour est la couleur de Dieu.
Et c’est cette couleur que je voudrais,
Toujours voir dans mes yeux.
La couleur que j’ai vu le plus souvent dans les yeux d’un enfant.
Jeanne D’arc.
(Ce poème je le dédis à mes enfants et petits enfants car les mots les plus beaux que j’ai entendus et qui sont aussi les plus doux
Ces mots contiennent pour moi toutes les couleurs de l’arc-en –ciel
Maman et grand –maman .)
Juste ici un œil se fait curieux.
Tout a coup L’ intérieur devient un grand point d’interrogation.
Dans cette solitude matinale.
Au lever du jour.
Dans cette ouverture un peu en retrait, dans cette petite alcôve , jour après jour, au petit matin elle vient s’assoir
Pour tenter de toucher sa lumière.
Même si c’est un simple effleurement.
De s’en approcher
Pas la lumière qui éclaire les choses de l’extérieur , mais celle qui perce tout de bord en bord , celle a travers laquelle tout devient transparent.
Cette lumière que nous voyons mieux souvent les yeux fermés.
Et parfois il lui semble pour un instant la percevoir
Pour lui confier tous ses questionnements.
Elle regarde la vie qui passe à l’extérieur, mais aussi les gens, les saisons.
Tout ce qui lui passe devant les yeux lui offre des pistes de réflexions.
Mais aussi des signes de solutions.
De ce qui se vit plus difficilement
Dans son monde intérieur.
Des mots sonnent des réponses à tous ses point d’interrogations.
Alors certains se changent en point d’exclamation.
Des émotions se vivent dans cet espace.
Des couleurs, des sensations.
Viennent lui dévoiler et raconter la vie.
la sienne , mais aussi toute vie qui l’entoure.
Cet endroit devient son point d’observation favori.
Son petit coin de retraite à chaque jour.
Elle peut aussi lui parler de comment elle se vit intérieurement.
Mais ce matin.
Quelque chose du dehors la touche et provoque.
Encore en elle une perte d’équilibre…
Elle redoute cette zone fragile , cette sensibilité dans son être.
Est sa plus grande fragilité
Et tout ce qui peut ainsi l’éveiller.
Celle qui revient sans cesse à intervalles réguliers, mais toujours sans s’annoncer.
Elle ne peut jamais savoir qui ou quoi en sera le déclencheur.
Qui ou quoi éveillera un fantôme ou une mémoire encore blessée.
Tant de mémoires encore à guérir.
Tant encore à réconcilier en dedans.
Mais le premier pas a été franchi , celui de dire oui de tout cœur a cette réconciliation.
Peu importe le temps qu’il lui faudra…..
Pour rejoindre toutes les parties de soi,
Mais se présente aussi des mémoires fantastiques pleines de joies et de rires.
Qui lui arrive et l’ébranle aussi.
La joie et le bonheur peuvent aussi être déstabilisant parfois.
Soudain, tout son intérieur devient d’une fragilité qui la laisse complètement désarmée.
Parfois ainsi en elle vient s’installer le doute qui en quelques secondes recouvre tout.
Ce doute envahit la totalité de son univers il prend toute la place en elle.
La peur s’installe elle ne sait pas combien de temps il lui faudra
Pour sortir de cette impasse.
Elle sait qu’il lui faudra tout revisiter.
Vraiment faire le point sur ce qui a encore grand prix au profond de son cœur.
Elle connait exactement l’endroit de la première perte de son équilibre.
Mais par cette ouverture là pourtant elle a encore une peur d’y regarder.
Dans cette déchirure,
Car elle a peur d’y replonger encore dans un vide si profond …
Un vide ou elle a vraiment cru se perdre.
Un puits qu’elle a cru sans fond.
Mais quelqu’un avait déjà visité cette nuit des profondeurs.
Alors une main lui fût tendue.
Cette main fût son sauveur.
Jeanne D’arc
J’ai tant besoin de ces moments seule avec toi
Les oreilles de mon cœur complètement ouvertes a tout ce que tu veux me murmurer.
Juste là, sur le bord du cœur.
Je sais que de ces séances j’en reviens toujours.
Avec les lentilles de mes yeux beaucoup plus claires.
Face aux évènements de ma vie.
Ce soir mon âme je vais couper tous les bruits extérieurs.
Je vais même essayer de couper ces pensées qui veulent créer interférence , aucunement en leurs refusant l’entrée.
Mais en les laissant passer dans mon intérieur comme des nuages dans le ciel.
Et c’est souvent dans cet espace vide qui finit par se créer entre elles .
C’est dans un petit temps suspendu.,qui se glisse entre deux .
Quand elles ralentissent leur course.
Que se situe le point de notre rencontre .
C’est a cet instant que se posent juste sur le bord du cœur, les mots que tu as a m’offrir en cadeau.
Je les ressent mais je pense qu’il me faut donner toute place au silence . pour vraiment les entendre.
Je sais qu’il me faut écouter.
La :juste au bord du cœur.
Ce qui monte des profondeurs?
Ou ce qui descends des hauteurs ? je ne saurais dire.
Car a ce moment tout se fond en un seul espace.
Tout au long de ma vie je suis souvent passé a coté de tout ce que tu avais a me dire , des rendez-vous manqués sur le bord du cœur.
Je sentais bien en moi un appel a écouter.
Un appel a cueillir ces présents offert.
Mais toujours trop pressée pour ralentir.
Oui trop pressée pour être complètement a l’intérieur de cet instant présent.
Tu me fais ressentir souvent par des frissons au cœur de m’éloigner de certaines situations .
Trop souvent on dirait que je deviens sourde d’oreilles et je reste là.
Alors c’est presque toujours après coup que je prends conscience que tu étais là bien présente.
Mais me laissant dans une si entière liberté.
Liberté dans chacun de mes choix , dans chaque décision.
Toujours dans un Accueil inconditionnel.
Tu me murmure dans mon corps souvent de me reposer . mais je ne ralentit pas assez pour entendre vraiment , jusqu’au jour ou ma vie devient incapable de me protéger de la maladie qui frappe fortement ,et me conduit indépendamment de la volonté a prendre du repos dans toutes les fibres de mon être.
Reposer mon corps , reposer ma tête, reposer mon esprit. , reposer mon cœur.
Je le dois.
Quand subitement je plonge dans un si grand mal d’être .
Aucunement par punition , non ma vie ne m’as pas punit.
La VIE ne punit jamais.
J’en ai maintenant la certitude profonde.
Cette certitude qui m’habite fût elle-même un cheminement.
Tant je suis partie de loin: dans une croyance complètement opposée a celle-ci.
La vie je sais qu’elle m’aime …j’y crois au plus profond de mes entrailles indépendamment de tous les évènements difficiles vécus.
C’est même peut-être par ceux-ci que j’ai pris conscience de cet AMOUR si grand et si inconditionnel.
Car c’est au cœur de grandes blessures et déchirures que j’ai cherché de toutes mes forces ma puissance suprême , c’est dans une détresse profonde que je me suis finalement totalement abandonnée , c’est au fond d’une grande désespérance qu’est né pour moi mon espérance.
L’Amour m’ accueille au delà de tous mes faux pas et de toutes mes erreurs .
Pour l’AMOUR je ne suis aucunement bon ou méchant je suis une âme en apprentissage.
Cherchant simplement le chemin du retour vers la maison .
Quelquefois perdue dans toutes les illusions.
Au plus profond de moi , je suis convaincue que l’AMOUR accueille tous et chacun ainsi.
Chaque âme est née de l’AMOUR.
Il l’accueille totalement.
Sans condition aucune.
Car chaque âme fait parti de cet AMOUR.
Mon âme ne me juge jamais , elle ne fait que m’aimer bien au-delà de tous mes choix.
Je reconnait chaque fois sa venue par un ressenti ou par une toute petite voix qui me vient de l’intérieur.
Je cherche parfois qui me parle ainsi dans le bord du cœur est- ce la voix de mon éducation qui elle est mélangée de nombreuses illusions .
Ou est-ce cette toute petite voix si douce et paisible venant du profond de mon âme.
Pas toujours si facile d’en faire la différence.
Mais il y a certains repères…..
Si j’y entends de la peur.
Maintenant je sais que ce n’est pas la voix de mon âme.
Si dans les mots que j’entends il y a autre chose qu’ uniquement l’AMOUR.
Je sais maintenant que ce n’est pas la voix de mon âme.
Car la voix de mon âme ne parle que d’amour et de paix.
Elle me conduit sans cesse vers des rivages paisibles
Jeanne
Cadeau de la sobriété !
Le 29 janvier 1997.
Cette date est la dernière journée où j’ai pris un verre d’alcool.
Ce poison avait fait de ma vie un enfer.
Je n’étais plus la femme que je rêvais d’être.
Je n’étais plus non plus la mère que je voulais être.
J’avais perdu ma dignité de femme .
Je ne pouvais pas vivre sans.
Et je ne pouvais plus vivre avec.
Je me trouvais vraiment dans une impasse.
Il fait tellement noir juste avant l’aurore.
Je vivais un vrai bas fond.
J’étais totalement battue.
Et du fond de cette détresse.
J’ai crié vers Dieu
Oui j’avouais toute mon impuissance à me sortir seule de cet enfer.
Et ma prière a été toute simple.
Et silencieuse extérieurement.
Mais mon cri était tellement fort a l’intérieur.
Chaque partie de mon être .
Vivait cette simple prière
«Je t’en prie mon Dieu qui que tu puisses être aide- moi, il faut qu’il se passe quelque chose.
Moi je ne suis plus capable.»»
Et là le miracle s’est produit.
J’ai vraiment ressenti que j’avais été secourue. que ma prière avait été entendue.
J’ai ressenti une paix.
J’ai ressenti que tout allait être correct.
J’en suis vraiment venu à croire qu’il est présent ici maintenant.
Par de nombreuses fois j’avais essayé de me sortir de là seule.
Jamais je n’ai réussi
Malgré tout l’amour que je ressentais pour mes enfants.
Ma dépendance était plus forte.
J’avais vraiment perdu la maîtrise de ma vie.
Mais ce matin là j’en suis venu à demander à une puissance plus grande que moi.
Aujourd’hui je sais que cette puissance est aussi en moi.
Mais en même temps bien au-delà
Mon être est contenu dans cette grandeur.
Et cette force.
Je repose en LUI.
Comme tout ce que mes yeux voit : chaque parcelle de vie .
Est contenu dans cette immensité que moi j’appelle Dieu.
Et je suis remplie de reconnaissance car depuis 15 ans maintenant.
Une journée à la fois je n’ai pas pris mon premier verre.
Je n’ai pas eu une victoire sur ce poison, j’en ai été vraiment libéré.
Car jamais même dans les moments difficiles de ma vie,
Jamais plus je pense que l’alcool est une solution.
Merci mon Dieu !
Jeanne
Il y a des images qui ressemblent tellement au bonheur .
J’ai choisi celle-là parmi des centaines d’autres.
Des images qui valent milles mots.
Il y en a tellement maintenant en moi.
De tous vos rires et vos sourires qui ont pouvoir de guérison..
Des rires que l’on entends qui nous habite.
Qui laissent des grandes traces de tendresse.
Des sillons plein de douceur.
Il y a des images.
Oui il y a en moi vos visages.
Qui sont imprimés sur le cœur.
Qui portent la joie.
Dans mon être.
Dans mon cœur de mère et de grand-mère.
Jeanne
Aimer la vie.
Aimer sa vie.
Aimer comme le soleil qui réchauffe la terre.
Aimer comme les étoiles et la lune qui éclairent la terre
Il se contente de briller.
Elles se contentent juste de scintiller.
Ils acceptent d’être ce qu’ils sont.
Et d’être ou ils sont.
De briller et de scintiller sur tout et sur tous.
Ils acceptent complètement leur fonction.
Aimer ce n’est pas quelque chose que l’on choisit.
C’est un sentiment que l’on vit.
Aimer c’est un ressenti qu’on laisse grandir en soi.
Aimer sans ne jamais attendre rien.
Juste de laisser l’amour en soi.
S’étendre et puis s’étendre encore.
Sur tous et chacun.
Jusqu’à englobé complètement tout.
Peu importe ce que tu fais.
Peu importe tes choix.
Là tout au fond de moi.
Tu fais parti de moi.
Il existe juste une création.
Et elle contient tout, oui ! Vraiment tout.
De l’infiniment petit jusqu’à l’infiniment grand.
Du plus petit caillou jusqu’au soleil immense.
L’air que tu respire.
La terre qui te porte.
Tous ces fruits dont tu te nourris.
L’eau dont tu t’abreuve.
Et celle qui te désaltère.
La brise qui te rafraîchit, mais aussi les grands vents qui te bousculent.
Les rires et les sourires qui t’enchantent.
Les pleurs et les cris de détresse.
Qui te permettent de les consoler.
Les mains tendues vers toi.
Qui t’offre ainsi la possibilité de donner.
Aimer, aimer vraiment toute la création.
C’est laisser vivre l’Être en soi.
Non! Je ne sais pas toujours aimer ainsi.
Souvent je suis comme un petit bateau qui flotte à la dérive.
Mais tant que je garderai ma boussole tourner vers cet idéal.
Je suis convaincu de retrouver encore et encore le chemin de la maison.
AMOUR !
Jeanne D’arc
Noël .
Pour moi la fête de Noël c’est avant tout une naissance .
Cette joie de voir naître l’amour juste un peu d’amour
Là ou avant il n’y avait que de la haine .
C’est de voir naître une lueur de paix ,
Sur les champs de bataille .
C’est de voir naître une réconciliation .
Dans des cœurs en désaccord .
C’est de voir naître de la joie .
Là ou il n’y avait que des pleurs .
Alors chaque fois qu’il naît une joie .
C’est noël dans les cœurs .
Oui Noël c’est la fête d’une naissance .
Il y a plus de 2000 ans
Est venu au monde un enfant .
Qui est arrivé avec dans son cœur un flambeau
Porteur d’ espérance !
Il est un porteur d’amour .
Un porteur de lumière !
Noël c’est sa fête à lui .
C’est un jour de naissance .
Chaque fois qu’il est accepté dans un cœur .
Voilà que c’est Noël !
Oui chaque fois que l’amour .
Est offert et reçu .
Voilà Noël !
Noël est une fête de naissance !
Une naissance .
Qui porte en elle l’espérance
Porteur d’un message pour chacun de ses frères .
Il n’est pas venu habillé comme un roi .
Il est né dans une crèche .
Il n’habite pas un palais .
Il ne demande que notre cœur soit ouvert
À l’amour .
Pour chacun de nos frères .
Je nous souhaite à tous de vivre cette naissance .
De l’amour dans notre cœur .
Oui la naissance de la lumière qui vient au monde .
Je nous souhaite de voir briller cette l’étoile .
Qui annonce la joie de cette naissance .
Oui Noël est une fête de naissance pour moi , la naissance de l’amour .
Que cela soit le mien , le tien , le notre ou le votre .
Noël est le jour de l’amour accueilli .dans un cœur .
Du plus profond du cœur .
Un très joyeux Noël !
……………
Jeanne D’arc .
Être mère.
L’autre soir j’ai vu une image de Marie tenant son fils dans ses bras.
Oui son fils mort sur une croix.
Moi en tant que mère cette image me touche profondément.
Depuis le premier instant, où j’ai porté la vie en moi.
C’est comme si mon cœur était resté en symbiose.
Mes filles sont devenues à leur naissance des êtres à part entière.
Mais mon cœur n’as pas vécu ce détachement.
Mon cœur est engagé et avec eux c’est un mariage pour toute la vie.
Chaque fois que mes enfants pleurent.
Une partie de mon cœur pleure aussi.
Chaque fois qu’unes d’elles à de la peine.
J’ai mal d’être impuissante a lui enlever sa peine.
Mon cœur de mère il est ainsi.
J’ai vécu tous les rejets qu’elles ont pu vivre
Avec elles.
Je vis leurs peines d’amour
Avec elles.
Chaque fois qu’une d’elles à peur.
Je voudrais vivre à sa place
L’expérience qui lui fait peur.
Mais je sais que je ne peux pas
Leur éviter de vivre de la souffrance.
Mais je souffre avec elles.
Pour moi c’est mon cœur de mère qui est fait ainsi.
Mais je vis aussi avec elles leur succès.
Leur réussite.
Je suis fière de leur victoire.
Leur joie me rend heureuse.
Alors leurs joies deviennent les miennes aussi.
Et maintenant je vis cela aussi avec mes petits enfants.
Eux je ne les ai pas portés en moi.
Mais ils sont profondément enracinés en moi.
Alors il me faut toujours arriver à faire confiance.
Oui je me dois de faire confiance. Oui confiance en leur force et en la vie qu’ils ont en eux.
Pour vivre chacune de leurs expériences.
Les bonnes comme les moins bonnes
Car cela devient leur bagage.
Pour vivre complètement ce grand voyage de la vie.
Je me rends compte qu’être mère et grand-mère c’est vraiment pour la vie.
Qu’importe l’âge de mon enfant.
Il reste toujours l’enfant que mon cœur à accompagner depuis la première seconde de sa conception.
Accepter d’être mère
Dans le oui de mon cœur.
C’est un engagement pour la vie.
Je vous aimais, je vous aime et je vous aimerai.
Je n’ai que cet amour a donné en héritage.
Maman
J’avais écrit ce texte il y a quelques années je m’en suis inspiré pour créer cette image photo.
Depuis quelques semaines cette créativité me passionne vraiment , je me souviens de mes débuts dans cet univers et ou je me situais ,dans tous les domaines de ma vie, beaucoup de chemin était fait dans la guérison de mon être intérieur, mais il y en avait encore beaucoup a parcourir, pas en distance car ce chemin vers la maison est un voyage sans distance, mais en profondeur.
Des liens se sont créés ,Et j’ai pris conscience de certains blocages , ce que je constate surtout c’est tous ceux que j’ai rencontrés ici et combien en vous côtoyant dans cet univers virtuel combien j’ai avancée et j’ai grandie ,chacun a partager soit par ses s écrits qui touche mon être.
leurs découvertes, les partages de certaines lectures , leurs outils partagés , ont permis A d’autres de renouer a leur propre créativité endormie .
la mienne j’avais mis tant de freins entre moi et elle.
Certains de mes blocages j’en ai pris conscience avec vous.
Et pas seulement dans ce domaine.
Nous sommes inspirés parfois par les autres ils deviennent notre source d’inspiration.
Beaucoup de vous furent cela pour moi.
Je crois vraiment que nous baignons tous dans la même source.
Elle est si immense et chacun possède en lui des immenses possibilités.
Et chacun y puise à sa façon unique.
Juste d’être ce que nous sommes.
Suffit, il n’y a aucune obligation.
Seulement être ouvert a toutes tes possibilités.
Créer un espace en soi.
Ouvert.
Entendre ce qui fait écho en toi.
Mais si le désir est en toi de partager tes écrits et tes créations ou les outils qui t’ont aidés, si tu en sens vraiment l’appel.
Ne refuse pas malgré les obstacles sur la route de ton rêve.
Car s’il t’en a donné si fort le désir, il te donnera les moyens pour y arriver.
Le processus parfois peut-être plus ou moins long.
Il y a des hauts et des bas.
Comme dans toutes naissances.
Et un projet , un rêve ,une œuvre est une naissance en soi.
Il peut être en veilleuse, mais sois certaine il renaîtra.
Si c’est le chemin qu’il avait en vu pour toi lors de ta propre création.
D’être ce que le grand créateur t’a donné d’être.
Merci a vous tous.
Certains personnes très proches de moi dans ma vie m’ont vu naître de la survie a la vie.
Voici que je sens que je vis encore une nouvelle naissance.
En moi.
Celle d’être encore plus vivante, malgré la maladie présente.
Merci a chacun et chacune d’entre vous qui faites parti de cette nouvelle Jeanne D’arc.
En qui je découvre plein de rêves et a qui je permet d’être.
Ce qu’elle est .
Mon physique vas avoir 61 printemps dans quelques jours.
Mais mon cœur sens encore la joie d’un enfant.
Devant le sapin de Noël.
Merci.
Jeanne.
Un mot de mon amoureux dans mon livre image de 60ans : avoir 60 ans donne bien quelques frissons, mais l’important c’est le cœur et le tien il est jeune sois en certaine.xxx