La femme du jardin

Toi la femme du jardin

Je ne savais pas le matin ou je t’ai dessiné

Que tu viendrais un jour habitée mon dessin

Que déjà tes empreintes y étaient

Que tu y étais en plein centre

Dans les traits de mon crayon

Mais tu le sais pourtant qu’il y a toute une histoire

Entre toi et moi

Le parcours ne fût pas toujours facile

Et la route toute tracée

Un matin pour survivre

Je devrais me réinventer

Me rapatrier

Une histoire qui remonte au début des temps

Une histoire de femme a femme

Une rencontre de toutes les femmes en moi

Toutes celles que j’avais épousées

Que pour toutes les rencontrées

Il me fallait remonter si loin

Je croyais bien ce matin là avoir dessiné un arbre

Tout simplement

Il est resté un arbre

Pour un temps

Avec ses branches et ses racines dans la terre

Un matin je ne sais pas trop pourquoi

Une intuition que Le dessin avait autre chose en lui

J’ai repris le dessin

J’avais envie avec l’ordi de le transformer

Et soudain tu y es apparue

IL m’a fallut me recolorer

Ou me décolorer peut-être

Je ne sais

M’étirer

Inverser mes couleurs

Me reformater parfois

Tout en y faisant une sauvegarde

Mais toujours en gardant la base.

Et y repartir encore

Pour mieux me retrouver

Pour que je puisse faire la paix

Avec toutes les femmes en moi

Cela peut paraitre étonnant

Mais cette femme dans mon dessin

Elle me parle de moi

Cette femme

Avec ses branches

Tendues vers le ciel

Un peu comme si le dessin tout à coup était inversé

Une femme a genoux

Non plus pour implorer

Mais juste pour louer

Qui ne plie plus vers ses racines

Mais y puise seulement sa force pour les étendre vers le ciel

Cette femme elle me parle de ma vie

Jeanne D’arc

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Il y a des mots.

Certains des mots que j’ai lus et d’autres que j’ai entendus me sont restés collés sur la peau.

Des mots faits vécus.

Des mots qui frappent.

Je voudrais pour certains d’entre eux être comme le serpent pour me défaire de cette peau.

Cette peau qui porte ces mots.

Ils ont fait des sillons, creusés si profond.

Ils sont comme des cratères sur la surface de la lune.

Quand je tombe sur eux.

Je glisse dans leurs sillons, je me perds dans leurs cratères.

Oui il y a de ces mots qui ont cet effet sur moi.

Pourtant arrive d’autres mots lus et entendus qui eux m’ont fournis des ailes pour devenir papillon.

Ils m’ont fabriqués des échelles pour remonter des puits sans fond.

Des mots qui caressent, des mots qui flattent.

Des mots sourires des mots douceur.

C’est le pouvoir des mots sur moi.

Des mots furent souvent bien plus que des guérisons.

Ils ont été de grandes résurrections

Je les ai aimés, vécus écrits.

C’est tout cela pour moi la magie des mots….

Ces mots que je partage avec vous.

En toute amitié.

Jeanne D’arc

texte inspiré

 

Ce texte est inspiré de la plus grande tempête de ma vie , j’avais 33 ans elle fût mon premier pas d’ un cheminement pas toujours en droite ligne , il y a eu plusieurs courbes et tournants, des croisés de chemins .
Des pentes dangereuses et abruptes, des côtes qui parfois te laissent sans souffle , quand tu arrive en haut souvent ,tu te roule en petite boule et prend une petite pause pour reprendre ton souffle ou seulement un moment de répit pour retrouver tes forces , dans certaines d’entre elles j’ai même du trouver des maisons pour me refaire une santé , Des gens et des livres qui m’ont servis de boussole …Mais l’espoir est là car tu commence a voir que malgré le terrain rocailleux, chacun de ces voyages en toi tu conduis plus loin .dans le voyage et en même temps plus près ou plus consciente
de cette lumière.
Sans doute que pour moi ELLES étaient toutes nécessaire pour me conduire ici maintenant et aujourd’hui dans cet unique instant présent … elles ont laissées en moi une fragilité mais pas celle d’un coeur que l’on brise facilement .
Mais une fragilité d’un être qui peut se perdre a l’intérieur d’elle même ou tombé dans de grands trous noirs.
Et pourtant le paradoxe est que c’est cette même fragilité qui me guide Vers
celui en qui j’ai mis toute cette espérance depuis cette première tempête à l’âge de 33 ans
Et jusqu’à cette minute , il ne m’as jamais abandonné …
l’espérance
Si tu ressens un jour que ta zone d’équilibre est devenue comme moi d’une
Grande fragilité.
Si tu te sens tellement ébranler et que la tempête se déchaîne en toi
Que tu emploies toutes les forces que tu as en toi pour essayer de tenir le gouvernail.
Que tu descends au fond de toi et que tu vois tous les débris qui t’empêchent de remonter.
Et que dans tous ces vents et ces remous tu as une immense peur de couler.
Je te souhaite de découvrir au plus profond de toi ce que moi j’ai découvert.
Quand sur le bord de me noyer je m’y suis accrochée
Et que tranquillement en le laissant me guider je me suis retrouvée sur un rivage à chaque fois.
Je crains encore ces tempêtes en moi, mais je peux te dire que maintenant je crois

Jeanne d’arc.

Le premier réveil

Je peux te dire que moi je me souviens de la première fois ou j’ai frappé un mur .où pour la première fois j’ai remis ma vie en questionnement . rmis pas seulement ma vie , mais où je me suis remise moi-même en questionnement …j’avais 33 ans une première croisée de chemins . je ne savais pas trop ce que je voulais faire de ma vie , mais une chose était certaine J’ai senti au plus profond de moi que je ne pouvais continuer ainsi .Le mur je l’ai frappé de plein front .
Je savais qu’il devait y avoir un changement ..
Pendant un instant j’ai vu tout le travail a faire tant j’avais vécue endormie pendant ces 33 ans dans l’inconscience totale

Un réveil  brutal j’ai vu tout le travail a faire …et j’ai pris peur.
comme quand on regarde sa maison et voit son grand ménage
La tâche et l’étendue te semble tellement énorme , que tu en es paralysée.
Et je me suis endormie de nouveau je ne pense pas aussi profondément mais  comme sous anesthésie locale je dirais…. il sera long le voyage entre cette croisée de chemin et le ici maintenant .

Mais j’avais un moment vu une lueur .
Mais de cette vision je peux dire qu’une petite chose a la fois un petit tiroir après l’autre
tu nettoie et cela s’éclaircit.
Un pas à la fois sur le chemin tu avances… il y a aussi des haltes en cours de route …

Des longues périodes  de repos…..

Des jours de veille et des jours plus endormis
en ce moment je sens que je suis d’une certaine façon encore dans un vent de changement .
Je sens que je franchit une étape ….

Mais le changement vas vers l’avant … donc ce vent est accueilli en pleine conscience .

Je gravit ma montagne … de  plus en plus consciemment.  les éclaircies sont belles .

Mais mes premiers pas vraiment sur le chemin  du  être là ici maintenant,  je m’y suis exercer ans un hôpital dont je revois encore les corridors .. tant pour rester ici et ne pas me perdre dans mes pensées pour ne pas plonger dans mes abimes intérieurs et être dépasser . submerger je disais intérieurement chaque geste que je faisais je m’y suis aussi exercer en comptant  mes pas en marchant dans les rues de ma ville , oui  ma vie m’a conduite à m’exercer a cette pratique du ici maintenant …

Pas facile de s’enraciner non pas dans un endroit sur terre … mais à prendre racine en soi

Et j’ai appris aussi a être en position témoin …pour ne pas être submerger encore quand j’ai a visiter mes abimes  intérieurs …pour guérir mes mémoires  .

Aujourd’hui je sais que je suis plus ouverte a vivre ce qui es …là ici et maintenant
Les yeux ouverts j’ai pas laisser tomber aucun de mes rêves … car certains sont devenus réalité de vie ,

Maintenant je vis mon chemin ou ma vie ..elle me conduit où je ne saurais le dire je vis mon aujourd’hui.

Je cherchais ma feuille de route ailleurs , mais la feuille de route de Jeanne D’arc … est en moi.

Tout comme la tienne est en toi.

Je peux avoir des pistes dans d’autres parcours si semblable au mien.

Ils sont là pour moi témoins de la lumière …. vers laquelle je me dirige aussi .. les chemins sont aussi nombreux qu’il y a de personnes sur terre … tous tournés vers une lumière .. tous chacun a sa façon témoin de la lumière.

Moi maintenant  j’essai d’être là dans chaque geste … du moment et de moins me perdre être là dans le simple geste de me laver les mains , être là en donnant de l’eau a mes plantes être là en tapant chaque touche de mon clavier ,

Être là ici maintenant.

Je vous écris ce billet et en tapant ici les dernières touches du clavier je veux changer l’image de mon blog , il est rester silencieux depuis quelques temps , mais s’il continue il vas sûrement changer d’image ..car le vent de changement souffle dans ma vie , je le sens .

Avec toute mon amitié
Jeanne D’arc

Un voyage … à l’intérieur



Je ne me souvenais pas des images de  mes promenades

Ainsi sur des bords de plage et pourtant je sais que j’y ai marché

Trop en recherche dans mon intérieur si chaotique  pour regarder vraiment ou mes pieds traçaient des pas

Je pourrais dire je gravissais une montagne intérieurement 

Pourtant dans certaines de mes lectures remonte une odeur a mes narines

Et je sais bien que cette odeur c’est la mer , tu vois que je n’ai pas toujours été là ou mon corps se déposait

J’entends parfois quelqu’un dire je vais aller voir au bout du monde si j’y suis  et bien pour moi je suis rester a tourner en rond dans un cercle très restreint ,

Mais je voyageais dans mon monde intérieurement à vitesse grand vent. J’étais a vivre mes tornades et mes ouragans .

Puis souvent a ramasser les débris des tsunamis… est-ce ceux des rébellions ?

Mais en ce temps-là j’étais trop perdue dans mes pensées

Oui j’ai parcouru des distances sans distance pour me trouver.

Je suis monté dans les hauteurs sans mettre de parachute

Je suis descendu dans les profondeurs …pour essayer de trouver ma vie….

Parfois il y faisait nuit et noir mais un petit fil y était ….. je tenais la main amie …..

Mais je cherchais a être une autre …sans vraiment le savoir …  alors certainement que je ne me trouvais jamais

Puis un de ces matins assise en boule replié tel un escargot, ou une petite tortue dans sa carapace j’ai  accepter d’être juste moi
Je regarde des images qui me font faire des aller retour…  des écrits …le font aussi …

Les deux pieds bien rivés …. au sol …. je ne suis que ce que le MAÎTRE  a voulu pour  moi ….

Jeanne D’arc

Le temps d’une vidéo …

Je sors ce matin de ma retraite , pas une vrai décision si je continue ou pas …un arrêt non planifié , pas une pause programmé non plus ,  juste qu’il ne semble pas y avoir  des mots qui se déposent dans mon encrier . Du moins de ceux que je veux partagés …

mais cette semaine une histoire m’as touchée et j’ai voulu inviter cette histoire ici dans mon cahier .

Avant de partir la vidéo arrêter la musique sur le site sinon cela fera une cacophonie

sweet Lorraine

Bonne journée

Jeanne D’arc

Un voyage a la campagne

Hier mon amie Louise m’a invité a un voyage chez elle .

Un déjeuner entre amies.

Un bon film ,

Des partages , des confidences

Une invitation a dormir une nuit dans son domaine qui vibre  des énergies qui font du bien.

Je me suis retrouvé dans un havre de paix .

Des beautés de la nature , arbres fleurs, et des chats et chatons.

Certains sont les chats de la maison.

D’autre sont des chats qui  y reçoivent un accueil  ils sont  peut-être pas   les chats de la maison ,mais jamais  ils ne seront   laissés sans aucun soin , ils ont trouvés en mon amie Louise leur St  François  d’Assise  Certains d’entre eux sont chez elle  en foyer de transition .

En attente de partir vers leur maîtres  d’adoption ..

Bientôt ils seront prêts de quitter leur maman ,

Un jardin qui respire la sérénité.

Des photos souvenirs …

Des caramel, persil perlas,des mistigris ,  Léa, qui me suit partout dans le jardin , elle me laisse m’y promener mais elle me guette , elle se demande bien qui est cette madame une étrangère et  intruse qui envahit son royaume ……

J’ai n’arrive pas a me souvenir de chacun des noms de tous les amis félins ,Lucky , oscar, et  quelques autres. Mais je les revois tous , dans ma mémoire…

Merci Louise de ces deux journées merveilleuses

xxx

Ton amie Jeanne D’arc

Je pensais à toi …

   

Petit homme !

Est –ce que je verrais un jour un peu de bonheur dans tes yeux.

Je sais que cela ne doit pas être facile.

De vouloir être un homme.

Et de trainer.

Dans son cœur toutes les blessures de l’enfant.

Mais si un jour tu peux comprendre.

Que tu n’es pas seul.

Chacun de nous avons à vivre avec

Toutes nos blessures aussi.

Parfois même si nous sommes grand.

On se sent tout petit en dedans.

 

Blessures de rejet, blessure de trahison, blessure d’abandon, blessures de ne pas être reconnu etc…

C’est souvent avec toutes ces blessures que l’on s’est formé une personnalité

Souvent rempli de mécanismes de défense

Nous sommes plus souvent en réaction

Que vraiment en action.

Mais à force de ne regarder que celles –ci.

On est aveugle !

A tous les gestes d’amour.

Toutes les marques de tendresse.

Toutes les petites choses que les autres font pour nous.

A`force de vouloir être aimé par une personne en particulier.

Nous ne voyons pas toutes celles qui nous aiment

Juste à côté.

Il y a des personnes qui ne peuvent pas aimer.

Elles en sont incapables.

Car elles ne sont pas capables de s’aimer elles –mêmes.

Et aussi parce qu’elles n’ont jamais appris à aimer.

 

Puis un jour.

On cherche notre identité.

Voilà l’adolescence ?

On pense que les grands sont dépassés.

Qu’ils ne connaissent rien.

Mais on finit par vieillir.

Et parfois on voudrait s’appuyer sur la sagesse des adultes du passé.

Mais on se réveille parfois trop tard.

Et ils ne sont plus là.

 

Pas facile de dépasser ces blessures

De changer tous nos comportements.

Mais les autres sont blessés aussi.

Et ont ne sait jamais dans laquelle nous irons toucher.

Alors je crois que nous devons un jour choisir.

Nous arrivons un matin à une croisée de chemin.

D’un coté il y a le passé et de l’autre il y l’avenir.

Il nous faut accepter aujourd’hui qu’hier on ne peut le changer

Malgré toute notre volonté.

Il nous faut aujourd’hui choisir .d’être heureux.

Il nous faut tous un jour dépassé ces blessures les abandonnés au passé.

Quitter le terrain de guerre.

Pour vivre aujourd’hui.

Et regarder en avant.

Sûrement que tu y arrive avec des cicatrices. 

Chacun y porte les siennes.

Je te souhaite de regarder vers le soleil levant ainsi l’ombre sera derrière toi.

Je t’aime mon petit homme.

Mon petit roi. 

Je voudrais tellement voir un peu de bonheur dans le fond de tes yeux !

D’une femme qui t’aime énormément.

(tu te souviens de notre chanson : dis boule de gomme serais-tu devenu un homme ) 

Jeanne D’arc

coeur 2

Mes yeux

mesyeux

Mes yeux !

Mes yeux ils contiennent la couleur de tous mes rejets, de tous mes abandons, et de tout les abus ,et aussi de chacun de mes deuils.

De toutes mes trahisons et de toutes mes déceptions.

Mais ils contiennent aussi la couleur de toutes mes joies de tous mes accueils de tous mes pardons et toutes mes absolutions la couleur de toutes mes acceptations.

De toutes mes libérations .

J’oserais même dire de toutes mes résurrections.

Ils contiennent aussi la couleur de tous mes amours et tous mes rêves.

De toutes mes peines, mes pertes et de toutes mes passions

Mes yeux ont versés des larmes,

Oui larmes de peine et larmes de joie

Larmes sucrées et larmes salées.

Larmes douces et larmes amères

Larmes de désespoir

Et larmes de libération

Larmes de colère et larmes supplication.

Longtemps ces larmes je les ai versées en dedans.

Elles restaient dans mon cœur.

C’est là qu’elles ont faillis m’étouffer.

Mes yeux ont parfois regardés sans voir

Car ils étaient aveuglés.

Et aussi parce qu’ils avaient peur de regarder.

D’autres fois ils ont vus sans regarder

Ils ont été éblouis.

Et ils ont vus des choses qu’ils auraient aimées ne pas voir

Mais ils ont aussi vus des choses

D’une beauté indescriptible. .

C’est pour tout ça que je désire vivre les yeux grands ouverts

Aujourd’hui et maintenant.

Dans la maison du présent.

Et quand viendra l’heure où je fermerai mes yeux !

Derrière ces fenêtres closes

Je voudrais emporter les beaux souvenirs

Que mes yeux ont savourés !

Et les autres souvenirs qu’ils soient purifiés et lavés

Par les larmes qu’ils ont provoquées.

Qui sont souvent ainsi quand elles sont baignées dans les eaux d’un pardon.

Quand je sens monter une larme

Et qu’elle se rend jusqu’à dans mes yeux

Je me dis voici un cadeau de Dieu !

Car toutes les expériences.

Ce sont des perles que la vie m’a donné.

Elles auraient pu éteindre mes yeux, les noyés mais je pense qu’elles les ont bénis,

Toutes ces expériences font de moi ce que je suis.

Parce que je veux voir la lumière et les étoiles.

Briller dans tous les yeux qui croisent mon regard.

Je choisis d’essayer de regarder .avec les yeux de l’amour.

Alors je choisis d’aimer.

Oui après toutes ces années c’est le seul verbe

Que je désire désormais conjuguer.

Car je crois, ainsi est ma foi

Que l’amour est la couleur de Dieu.

Et c’est cette couleur que je voudrais,

Toujours voir dans mes yeux.

La couleur que j’ai vu le plus souvent dans les yeux d’un enfant.

Jeanne D’arc.

(Ce poème je le dédis à mes enfants et petits enfants car les mots les plus beaux que j’ai entendus et qui sont aussi les plus doux

Ces mots contiennent pour moi toutes les couleurs de l’arc-en –ciel

Maman et grand –maman .)

chemin de liberté(reprise )

pastelgras.jpg

Même si tu ne vois pas le chemin devant.

Regarde le beau à l’horizon.

C’est n’est plus la destination.

De ton voyage.

Mais tout le paysage que tu rencontre sur le chemin.

Qui fait parti de ton objectif.

Maintenant.

Qu’importe les détours au long du parcours.

Les doutes, et les erreurs.

Les arrêts et les pauses.

Ils deviennent partie intégrante  de ton

Voyage.

C’est devenu un voyage qui contient la destination de chaque jour.

Ma quête de paix intérieure.

Elle n’est pas dans un seul.

Contenant au pied d’un arc-en-ciel.

JE la trouve par petits morceaux.

Tout le long du voyage.

J’étais partie avec un si gros bagage.

J’avais plus de place.

Pour les conservés.

Alors dans des croisés de chemin.

Dans des tournants.

J’ai déposée bien des valises.

Et plus je voyage j’apprends à voyager léger.

Je goûte le but de ma quête.

A chaque jour.

J’en oubli même que j’avais entrepris un voyage.

C’est tout le chemin qui est devenu.

Mon voyage.

Je dépose en chemin murs et barrières.

Mon être soudain se sent soulevé.

De nouvelles perspectives s’ouvrent.

Il n’y a peut-être même plus de voyage.

Juste un chemin de liberté.

Jeanne D’arc