Une extrême délicatesse.

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Une extrême délicatesse.

C’est avec une extrême délicatesse que mes mains s’approchent de cette porte fermée a double tour de ma mère a l’intérieur de moi.

Cette Rose de ma vie.

Un jour elle m’en avait offert une clé mais je m’étais donnée la consigne de n’ouvrir seulement qu’après son départ.

Par respect pour elle? Je ne saurais dire.

Par crainte de m’écrouler?

Je ne crois pas.

Mais qui me diras.

Je n’avais aucune hâte de faire le tour de tous les sentiments enfermés derrière cette porte close.

De toutes les émotions qui y étaient enfouies.

Même si je brûlais d’envie de connaître cette femme qui est resté si secrète au long de sa vie.

Je restais éternellement diviser entre le oui et le non.

Cette femme que j’ai aimée mais sans jamais vraiment pouvoir entrée dans son monde intérieur.

Cette femme inconnue réellement pour moi.

Cette femme que j’ai crainte aussi.

Oui une femme que j’ai aimée sans vraiment savoir qui j’aimais.

Mais que je devinais, vrai ou faux je ne sais.

L’ouverture de cette porte serait–elle un tremblement de terre.

Ou la plus gigantesque caresse.

Cette femme dont j’ai quêté l’amour.

De toutes les façons.

Elle avait l’entière liberté de ne pas ouvrir cette porte.

Celle de son intimité.

Celle de toute sa vie intérieure.

Elle la préférait close. Qui sait pour quelle raison.

Mais ainsi aucun de nous ne connût vraiment cette femme.

Ou juste  de tous petits mais tellement  précieux morceaux  

J’avais en même temps faim et soif de ma mère, mais aussi une peur que tout ce que j’en avais fait dans mes rêves.

Qu’en ouvrant cette porte tout mon rêve se détruise.

Cette femme que j’avais sans aucun doute sûrement idéalisée.

J’ai connut ma mère dans mon intérieur en imaginant ses amours et ses passions

Je l’ai connut dans la porte de ma vie a moi.

Cette femme je l’entends . 

Dans mes propres peines et mes propres joies..

Oui je crois que dans ma voix et mon écoute je porte mes deux parents. 

Mais dans le monde extérieur par la porte de sa vie a elle je ne la connais pas.

Je devais me fabriquer une idée de cette femme qui restait si secrète.

Je vivais ma mère dans mon intérieur.

Il m’a fallut l’aimer ainsi a l’aveuglette.

En imaginant ses peines et ses joies.

Tout ca pour vous dire que c’est avec une extrême délicatesse.

Que ma main se pose sur cette porte….. Pour peut-être essayer de seulement l’entrouvrir

De cette femme qui vis là encore au fond de moi.

Cette femme qui as finit par faire de moi un livre grand ouvert.

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Texte d’un exercice d’écriture sur un sujet , ou a partir d’une phrase , celle-ci était c,est avec une  une extrême délicatesse. voici ou ces mots m’ont conduits

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Mes mains

Je vous aime  pour hier

Je vous aime pour aujourd’hui

Je vous aime pour demain

Je t’aime ma main droite

Je t’aime ma main gauche

Je vous aime avec une plume

Je vous aime dans la main de quelqu’un

Je vous aime les deux  jointes

Car  c’est ainsi  que j’ai appris à vous aimer

Même si l’acceptation est difficile parfois

De vous voir ainsi Handicapées

Pour toutes les choses accomplies pour moi

Je vous aime pour toujours

Merci💗

Jeanne D’arc

Les voyageurs

 

Tes pas sont  nés du matin

Les miens sont nés du soir

Si tu pouvais  allonger  juste un tout petit  peu ton temps

Et moi si je ralentis assez mes pas .

Peut-être pour un petit temps nous pourrions marcher ensemble.

Tu as pris le train du matin

Et moi le train  du soir

Si pour un instant nous , nous retrouvions

Dans  un train entre midi et minuit

Peut-être on pourrait faire un petit bout de voyage ensemble.

Même si nous ne descendons pas à la même gare.

Je ne veux pas rester sur le quai à regarder ton train

Quitter ma vie.

Sans un souvenir de nos deux pas qui marche sur les mêmes rails.

Sans un souvenir de nos mains qui se touchent

Sans une empreinte de cette tendresse

Sur ma peau, même si elle n’est que le bout des doigts

Une image de l’homme que tu es.

Car dès le premier regard j’étais charmée

Mais peu importe ton sourire  habites déjà la maison de mon imaginaire.

Jeanne

 

 

 

Une image inspirante

Papillon

Une image inspirante

J’ai cherché ce soir  ce qui  pourrait m’accompagner durant mon exercice d’écriture.

Qui viendrait et me servirait  d’accompagnateur.

Qui viendrait me porter l’inspiration.

Une image ?

Une phrase ? des mots ?

Et c’est Une image qui est venue  me tenir compagnie et à laquelle j’offrirais des mots. Une image qui les réuniras

Ou simplement que je laisserais s’écrire  ceux qu’elle m’inspirerait.

Une image médiatrice.

Un pont entre deux états d’être.

Un passage entre deux mondes.

Une image si importance dans ma vie.

Une image signifiante.

Une image qui témoigne.

Une image qui juste en elle-même me parle.

De  tous les temps.

Une image qui peut-être accepterait d’en déposer elle –même sur le bout de mes doigts.

Des mots…..

Les mots que tu transporte d’un univers à l’autre.

Les mots qui voyage d’un monde a un autre.

Que dans ton battement d’ailes certains tu m’en as fait cadeau en les conduisant vers ma plume.

Et ceux déposés ici dans mon cahier .

Je les accueille depuis toujours avec révérence.

Dans un tel sentiment de gratitude.

Moi je laisse monter l’inspiration.

Je lui offre liberté.

Je ne cherche pas le beau.

Mais simplement ce qui veut se dire.

Ce qui veut s’exprimer.

Je les laisse s’écrire avec de plus en plus de confiance.

Les mots…..

Ses ailes les portent tout autour de mon univers.

Quelle partie de moi a besoin de se dire ? Quelle partie a besoin de ces  mots.

Mon cœur a besoin pour vivre d’entendre le souffle de mon Âme.

Cet air dans sa vie c’est d’elle qu’il lui vient.

Et mon Âme a besoin de la chaleur des mots qui lui parviendront du cœur.

Laisse-toi bercer mon cœur.

Laisse-moi t’aimer mon âme.

Un simple battement, feront des vagues de l’intérieur, jusqu’à la surface s’il le faut.

Il y a des grandes eaux dans les mots elles sont de celles qui purifient. 

Des eaux qui viennent guérir des maux.

Pour moi tu n’es pas seulement un papillon, il y a en toi un si grand pouvoir de transformation.

Tu voyage entre.

Une fin du monde pour une étape de vie et d’une naissance pour l’autre.

Mais une seule et unique vie.

Tu meurs à une vision.

Et tu nais dans une autre.

Une petite chenille dans un cocon. Une petite chenille qui un matin devient non plus un être rampant, un être dans un état d’hibernation

.Mais devient un être tout nouveau  en formation, ou en processus de transformation ….

Mais un être avec des ailes, un être libre, une femme libre.  

Qui ouvre grandes les ailes.

Sois la bienvenue

Dans mon petit monde.

Tu es un signe si puissant.

Comme  mon Jonathan.

Tu es.

Un signe de miracle.

Merci de me permettre d’y croire et encore d’y croire et de le ressentir  en moi.

Jeanne D’arc