Ma main gauche

Ma main gauche.

Ce soir j’offre à ma plume.

Une complète liberté

Je laisse celle-ci courir librement sur la page.

Encore toute blanche de mon cahier

Plus de censure je ne veux plus en imposer aucune

N’y a ma plume, n’y a aucun de mes outils de création

C’est un chemin de liberté que ma VIE à finit par trouver.

Écrit

Dessine

Rature.

Liberté… librement…libérer …. LIBRE

Tout comme, dorénavant je refuse de rejeter.

Cette main gauche

Qui veut s’imposer.

Cette main culpabilisée

C’est cette main qui depuis ma plus tendre enfance

Celle qui s’avance naturellement

Et que l’on refusait par interdit de la laisser

Être ce qu’elle est

Elle était par certains diaboliser

Et pourtant elle fait tellement partie de moi.

En sortiras ce qui veut bien.

Désormais elle est la seule à écrire

Liberté.Librement.libérer:LIBRE

Je ne veux plus aucune censure dans mes mots.

Je ne veux plus aucune entrave à ce qui veut s’exprimer

J’ai fait le choix de laisser parler ce qui veut sortir de l’intérieur.

Quand j’étais toute petite on me disait que Dieu

Me voyait partout.

J’en ai eu peur de ce Dieu enseigné.

Parce que.

On avait oublié de me dire qu’il n’est q’ AMOUR.

Qu’il est tel un père aimant

Que le VRAI est sans jugement

On me l’a présenté comme un être sévère

Terrifiant, invisible, et omnipotent

Que je me devais d’aimer

Mais je ne ressentais que peur

Puis l’on m’a mis une foule d’interdits.

Depuis lors je crois que j’ai essayé.

De ne pas penser ce que je pensais.

De ne pas ressentir ce que je ressentais.

De ne pas aimer ce que j’aimais.

De ne pas être ce que je suis.

Si ce que je suis ne suffit pas.

Jamais rien ne seras suffisant.

Car je suis incapable d’être ce que je ne suis pas.

Je suis Jeanne tout simplement.

Rien de plus

Mais rien de moins

Liberté, librement, libérer : libre

Pourtant aujourd’hui je sais que pour l’AMOUR qui nous habite, ou l’AMOUR dans lequel tous nous habitons ce que nous sommes est toujours suffisant.

Jeanne D’arc

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Amour je t’ai cherché partout

Amour je t’ai cherché partout!

Je t’ai cherché dans la richesse et dans la pauvreté.

Je t’ai cherché parmi les rires mais aussi parmi les pleurs.

Je t’ai cherché le jour et je t’ai cherché la nuit.

Je t’ai cherché dans les moments de bonheur.

Et je t’ai cherché dans mes instants de malheur.

Je t’ai cherché dans les yeux d’un enfant

Et je t’ai cherché dans les yeux des grands.

Je t’ai cherché dans le bruit.

Et je t’ai cherché dans le silence.

Je t’ai cherché dans mes parents

Et  je t’ai cherché dans mon travail.

Et je t’ai cherché dans mes loisirs

Oui je pense que je t’ai cherché partout.

Et le jour où j’ai vraiment ouvert mon cœur et que j’ai accepté de te laisser entrer et aussi de te laisser sortir de ne plus jamais t’emprisonner.

Oui j’ai accepté de te donner et de te recevoir.

Le jour où j’ai accepté que c’est cela la communion.

Je t’ai trouvé partout.

Je t’ai trouvé dans la richesse et dans la pauvreté.

Je t’ai trouvé dans les rires, mais aussi dans les pleurs.

Je t’ai ressenti le jour et je t’ai ressenti la nuit.

Je t’ai trouvé dans mes moments de bonheur

Et je t’ai trouvé dans les instants de malheur.

Je T’ai vu dans les yeux des enfants.

Et je t’ai vu aussi dans les yeux des grands.

Je t’ai trouvé même au milieu du bruit.

Et je t’ai trouvé dans le silence.

Je t’ai trouvé dans mes parents

Je t’ai trouvé dans mon travail

Je t’ai aussi trouvé dans mes loisirs,

Oui je t’ai vraiment trouvé partout.

Oui pour t’accueillir l’amour il faillait rien qu’ouvrir tout grand mon cœur, sans aucune peur d’avoir mal.

Voici mon pèlerinage vers l’amour.

J’espère ne  plus jamais fermer mon cœur, à l’amour.

Il est là à chaque jour dans le plus petit événement comme dans les plus grands.

Il est là dans chaque cœur .dans le tien et dans le mien, dans le nôtre, et dans le vôtre.

Car c’est la maison qu’il a choisit d’habiter.

Pour être donné et reçu.

Parfois il est retenu prisonnier.

Il ne te forcera jamais.

Car il t’a donné une entière  liberté.

Il t’a donné la clé tu peux le fermer et l’ouvrir

Mais il est là toujours .stable et inchangé.

Au profond de chaque cœur.

Moi je veux vivre et pour moi l’amour c’est la vie.

Alors je choisis d’AIMER.

Jeanne d’arc.

Faire la paix au présent

Faire la paix au présent.

La paix  ne peut se faire qu’au présent.

J’ai cherché la paix au dehors si longtemps.

Ainsi je me laissais déranger par le moindre vent.

Maintenant je cherche à vivre la paix en dedans.

A faire la paix.

Au présent.

A faire la paix en moi

Je me rends compte que chaque petit refus

Chaque petit conflit que je vis m’offre une opportunité de faire la paix.

Il y avait parfois dans ma façon de vouloir la paix dans le monde.

Des déclarations de guerres.

Dernièrement j’ai vécu des passages un peu dérangeants et je ne suis pas équipé pour jouer le rôle de Dieu.

Donc je lui ai confié tout ce que je ne peux pas faire par moi-même.

Ma vision de voir le monde et la vie est en train de se transformer.

Je ne peux régler aucune situation qui ne m’appartient pas.

Les sentiments et les émotions que vit quelqu’un.

Lui appartiennent complètement.

Je peux être ouverte à des situations que vivent les autres êtres à l’écoute mais je ne peux faire le chemin pour eux.

La seule façon d’apprendre à marcher est de faire un pas et puis un autre

Je dois faire la paix en moi avec ce que la vie met sur mon chemin.

Je me rends compte qu’ ou j’ai refusé dans le passé d’être en paix.

De vivre cette paix.

N’était que du refoulement.

Il me revient au présent par des personnages interposés et me permet de choisir à nouveau.

De cesser le mécanisme de défense et d’attaque

Et de faire et vivre cette paix en moi.

Donc je n’ai pas à faire la paix avec personne d’autre l’idéal c’est que deux personnes puissent faire la paix dans leur différents.

Mais personne ne peut te priver de la liberté de faire la paix en toi.

Mais souvent le conflit te permet de faire une paix plus profonde en toi-même.

Tu ne peux forcer personne à vivre la paix, mais tu peux quand même faire la paix avec elle en toi.

Pourquoi telle personne n’arrive sur ton chemin qu’a une certaine  étape de ta vie.

Moi je crois que le grand guide le sait.

Dernièrement j’ai fait une demande à mon guide intérieur, mais en moi il y a l’égo et il y a mon guide.

Je commence à reconnaître ou mon égo embarque et je peux plus facilement en lâcher prise.

Être en paix avec mes choix, mes décisions.

Qu’importe le chaos qui règne autour il t’est possible d’être en paix en toi.

Faire entièrement la paix avec ce qui se présente au présent.

Même malgré que parfois tu as l’impression de vivre le passé.

Tu le vis au présent.

Il n’y a qu’un seul temps et c’est le présent.

Jeanne D’arc

Joan of Arc

Now the flames they followed joan of arc
As she came riding through the dark;
No moon to keep her armour bright,
No man to get her through this very smoky night.
She said, I’m tired of the war,
I want the kind of work I had before,
A wedding dress or something white
To wear upon my swollen appetite.

Well, I’m glad to hear you talk this way,
You know I’ve watched you riding every day
And something in me yearns to win
Such a cold and lonesome heroine.
And who are you? she sternly spoke
To the one beneath the smoke.
Why, I’m fire, he replied,
And I love your solitude, I love your pride.

Then fire, make your body cold,
I’m going to give you mine to hold,
Saying this she climbed inside
To be his one, to be his only bride.
And deep into his fiery heart
He took the dust of joan of arc,
And high above the wedding guests
He hung the ashes of her wedding dress.

It was deep into his fiery heart
He took the dust of joan of arc,
And then she clearly understood
If he was fire, oh then she must be wood.
I saw her wince, I saw her cry,
I saw the glory in her eye.
Myself I long for love and light,
But must it come so cruel, and oh so bright?

TRADUCTION JOAN OF ARC – LÉONARD COHEN
À présent les flammes ont suivi Jeanne d’Arc
Tandis qu’elle chevauchait dans la nuit,
Sans lune pour faire briller son armure,
Sans homme pour lui faire traverser cette nuit si enfumée

Elle a dit : “ Je suis lasse de la guerre,
Je désire retrouver mes travaux d’avant,
Une robe de mariée ou quelque chose de blanc
Pour vêtir mon appétit débordant.”

Ah ! je suis heureux de t’entendre parler ainsi…
Tu sais que je t’ai regardée chevaucher chaque jour,
Et quelque chose en moi aspire à gagner
Une héroïne aussi froide et solitaire.

“Et qui es-tu ?”, demanda-t-elle, l’air sévère,
À celui qui se tenait sous la fumée.
“Pourquoi ? Je suis feu”, répliqua-t-il,
“Et j’aime ta solitude, j’aime ton orgueil.”

Alors, Feu, refroidit ton corps !
Je vais te donner le mien à tenir.”
Sur ces mots, elle est montée dans le brasier
Pour être sa seule et son unique épousée.

Et, tout au fond de son cœur embrasé,
Il a pris les cendres de Jeanne d’Arc,
Et elle a compris clairement, alors,
Que, s’il était le feu, elle, elle devait être le bois.

Je l’ai vue grimacer, je l’ai vue pleurer,
J’ai vu briller la gloire dans son regard.
Et moi j’aspire à l’amour et à la lumière,
Mais doit-il être si cruel, doit-elle être si éblouissante ?

A tous je dis merci

Le cahier de Jeanne D'arc

jeannedarc10ans (2)

Oui je veux dire merci a chacun de ceux qui ont croisés ma route.

Tout au long de ma vie.

Ici je ne nommerai aucun nom , car la liste est beaucoup trop longue . pour être contenue dans un billet.

Et pour rien au monde je ne voudrais oublier aucun de vos passages, si court fût-il dans ma vie.

Un instant qui parfois fait une telle différence.

Certains de vous avez croisés mon chemin par vos écrits.

Et je ne connais même pas tous vos noms.

De certains je n’ai que les noms de plume.

Mais vous êtes pour moi aussi présent dans ma vie que celui que je croise physiquement.

Vous m’avez fait le même bien en déposant vos mots si plein de vie sur la page , que si vous les aviez déposés directement en moi.

Ils ont été aussi puissants quand dans mon besoin je les…

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Temps de lecture , temps d’écriture…

Le cahier de Jeanne D'arc

relief 10

Depuis un bon bout de temps j’avais besoin d’être plus  en mode lecture .

Besoin de me ressourcer, pas toujours évident de trouver les mots quand ton  écriture est puisé dans l’encrier de ta vie.
Oui souvent mon vécu fût mon encre et mon encrier.

Mais je refuse maintenant d’écrire pour

Couvrir une page.
Si rien ne monte.

Ou rien ne se marie , si cela reste des mots qui pour moi ne sont pas ressentis.

Si je ne ressens pas la TRAME qui les relient.

L’écriture en me désertant un temps ,viens de m’enseigner que je ne veux pas écrire juste pour écrire mais sentir vibrer ce que l’écriture m’apporte.

La page restait blanche et c’est maintenant parfait ainsi.

Je ne vous dit pas que je n’ai pas pleurée ce vide.

Il t’arrive parfois de sentir que ton encrier est vide,  ou que ta plume est brisée.

Rien qu’en…

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L’invitation

Ce livre où j ai dépassé le stade de la lecture , j ai l impression d’avoir rencontrée une âme sœur ce livre m a conduite ailleurs 😍

Je ne veux pas savoir ce que vous faites dans la vie.
Je veux seulement connaître vos désirs, savoir si vous avez assez d’audace pour imaginer la réalisation de vos rêves les plus chers.

Je ne veux pas savoir quel âge vous avez.
Je veux savoir si vous oserez vous rendre ridicule au nom de l’amour, d’un rêve ou de l’aventure de la vie.

Je ne veux pas savoir quelles planètes vous influencent.
Je veux savoir si vous avez touché le centre de votre propre douleur, si les trahisons de la vie vous ont permis de vous ouvrir, ou si la peur de souffrir encore vous a fait vous refermer sur vous-même.

Je veux savoir si vous pouvez regarder la souffrance en face, la mienne ou la vôtre, sans essayer de la cacher, de l’atténuer ou de la nier.

Je veux savoir si vous pouvez laisser la joie vous habiter, la mienne ou la vôtre, si vous pouvez danser de bonheur et vous laisser remplir d’extase jusqu’au bout des doigts et des orteils, sans faire appel à la prudence, au réalisme, sans appeler les limites de la condition humaine.

Je ne veux pas savoir si l’histoire que vous me racontez est vraie.
Je veux savoir si vous seriez capable de décevoir une personne pour rester fidèle à vous-même; si vous pouvez faire face à des accusations de trahison sans vous trahir vous-même.

Je veux savoir si vous pouvez être fidèle et ainsi digne de confiance.

Je veux savoir si vous êtes capable de saisir la beauté du quotidien, même quand tout n’est pas joli, et si vous pouvez nourrir votre vie de sa présence.

Je veux savoir si vous pouvez vivre malgré l’échec, le mien ou le vôtre, et tout de même vous tenir sur le rivage du lac et crier aux reflets argentés de la pleine lune: «Oui!»

Je ne veux pas savoir où vous vivez, ni combien d’argent vous avez.
Je veux savoir si vous pouvez vous lever, après la nuit de la souffrance et de désespoir, malgré votre fatigue et votre douleur profonde, et faire ce qu’il faut pour nourrir les enfants.

Je ne veux pas savoir qui vous connaissez, ni comment vous avez fait pour arriver ici.
Je veux savoir si vous resterez au centre du feu avec moi, sans reculer.

Je ne veux pas savoir ce que vous avez étudié, ni où, ni avec qui.
Je veux savoir ce qui vous nourrit de l’intérieur, quand tout le reste s’évanouit.

Je veux savoir si vous pouvez être seul avec vous-même et si vous aimez vraiment la personne qui vous tient compagnie dans vos moments de solitude.

Mon frère

Mon Frère

C’est toi qui as nagé
Dans ma seule rivière
C’est toi qui as sauté
Par-dessus mes barrières
Toi qui as mis le pied
Dans ma vierge forêt
Sur mes sentiers privés
Sur des chemins secrets
T’as joué à la cachette
D’une drôle de manière
T’as triché, je regrette
Qu’est-ce qui ta pris mon frère
C’est toi qui as frayé
Ce défendu passage
Toi qui as regardé
Fleurir mon paysage
C’est toi qui as reçu
Mes pluies et mes sanglots
Je te revois, pieds nus
Jouer dans mes flaques d’eau
D’accord, tu ne viens plus
Nager dans ma rivière
Et tu ne sautes plus
Par-dessus mes barrières
Mais il flotte toujours
L’odeur trop familière
De jeux de l’amour
Que j’apprenais à faire
C’est toi qui as enfoui
Dans mon coeur et ma terre
Cette honte qui grandit
Qu’est-ce qui t’as pris mon frère?
S’il existe un sentier
Pour revenir en arrière
Tu m’en as tant montré
Montre-le moi mon frère
Parole et musique: Linda Lemay, France D’amour et Guy Tourville

je suis

Je suis.
Je suis un être de passion, un être d’intensité, un être de fragilité, un être de sensibilité.
Je suis un amalgame de toutes mes expériences,lasomme de mes joies et de mes peines.
La totalité de toutes mes passions, le résultat de tous mes amours.
Je suis ce que ma vie à fait de moi.
Les déserts que j’ai traversés
Toutes les montagnes que j’ai gravies.
Je suis mes territoires explorés.
Et ceux qui sont encore minés.
Et tous ceux qui sont encore à découvrir ,Toutes mes rivières pleurées.
Tous les soleils et tous les arcs-en-ciel rencontrés.
Je suis faite de toutes mes réussites et de tous mes échecs.
Je suis toutes mes tempêtes et tous mes naufrages.
Mais aussi tous les rivages et les plages ensoleillées.
Je suis toutes les petites morts et les grandes morts que j’ai vécues.,je suis toutes mes résurrections.
Je suis les couleurs que ma vie a peintes en moi.
Je suis faite de noir et de blanc.
Des couleurs primaires que j’avais à ma naissance.
Je suis ce qu’en partant de ces couleurs ma vie a fait de moi,unêtre unique comme chaque flocon de neige
Une toile tissée de ses expériences.
Je suis fille
Je suis sœur
Je suis femme
Je suis mère
Je suis grand-mère
Je suis amie
Mais par dessus tout je suis une âme en évolution. Encore et toujours moi.
Je suis en même temps pas plus que cela.
Mais rien de moins que ne cela.
Jeanne d’arc